publié le 15 déc. 2009, 01:17 par Avant-Garde Plouvorn
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mis à jour le·15 déc. 2009, 01:26 par Thibault Troadec
]
GSI Pontivy (CFA) - Plouvorn (DSE) (6-1) Un 32e en cadeau de Noël. 79e
minute: alors que Plouvorn vient de réduire le score, Christophe Salaun
a l'occasion d'égaliser sur cette frappe qui sera finalement bien
détournée par le gardien pontivyen, Kodjovi Obilalé. Les Finistériens
viennent de laisser passer leur chance. Photo Jean René
La GSI n'est pas tombée dans le piège que l'équipe de Plouvorn,
au demeurant excellente, voulait lui tendre. Aussi, malgré beaucoup de
difficultés, les Gésistes disputeront, en janvier, un septième 32e de
finale.
Séquence
fair-play au coup de sifflet final, alors que les Finistériens
remerciaient leurs nombreux supporters pour leur soutien sans faille
tout au long des quatre-vingt-dix minutes: les Pontivyens, pas entrés
aux vestiaires, attendaient l'équipe de Plouvorn pour lui faire une
haie d'honneur qu'elle avait vraiment méritée.
Quelques minutes de stress
Ensuite, la joie se lisait, bien évidemment, sur les visages
morbihannais, sans toutefois une ivresse délirante malgré quelques
bulles de champagne. Cette rencontre, le président Le Mestre l'avait
vécue avec de la tranquillité jusqu'à la 75e minute (réduction du score
de Salaün), puis quelques minutes de stress (ses joueurs semblant un
peu en dedans, Plouvorn pouvait en profiter) mais le penalty transformé
par Bray ôtait tout suspense. «C'est exact», disait le président Le
Mestre, «Plouvorn a de la qualité mais nous le savions avant de
disputer ce huitième tour, cependant la qualification est là avec ce
32e. C'est ce qui compte! Pour le tirage, évoluer à domicile bien sûr,
tout en espérant que le souhait de ma fille soit exaucé: elle aimerait
avoir Bordeaux comme adversaire... Cela me convient parfaitement même
si la réception de Guingamp, le tenant de cette coupe de France, aurait
un côté très sympathique. Vraiment, la fête du football breton!» Alain
Le Dour, quant à lui, analysait avec lucidité ce huitième tour: «En
deuxième période, notre problème venait du fait que l'on n'arrivait
plus à s'imposer dans le milieu du terrain. Donc, on perdait trop
rapidement le ballon et il y avait danger. D'où la nécessité d'opérer
un choix tactique a été bénéfique avec cette qualification à la clé».
Sentiment du devoir accompli
Chez les joueurs, le sentiment du devoir accompli était de mise: «Vous
savez», précisait Rudy Christophe, «on savait au repos, malgré nos deux
buts d'avance, que Plouvorn n'allait rien lâcher. C'est la marque de
fabrique des formations finistériennes. De toute façon, on n'a pas pris
du tout ce match à la légère. On a même oublié la pression du résultat.
Nous étions favoris mais on était bien placé pour savoir qu'en coupe de
France, les surprises sont très nombreuses. Après, on a su, je crois,
faire la différence dans les duels pour s'échapper définitivement même
si Plouvorn a eu la possibilité d'égaliser». Edern Guyader, qui va
disputer un deuxième 32e de finale d'affilée, et Jonathan Toulliou,
enfin, partageaient la même analyse: «On n'a pas réalisé une grosse
prestation mais on a décroché la qualification. Pour la suite, moi
j'aimerais continuer l'aventure», déclare Guyader. Jonathan Toulliou,
lui, savoure ce 32e de finale avec si possible, dit-il, «un match au
Faubourg de Verdun». La réponse ce lundi, à Rennes, à midi, dans les
mains notamment de Daniel Rodieghero, ancien vainqueur, avec le Stade
Rennais, de la coupe de France en 1965!
C'est le septième 32e de finale de son histoire que la GSI va
disputer en janvier. En effet, en seize ans, les «Vert et Blanc» ont
affronté, en 1993, Guingamp; en 1994, Auxerre; en 1996, Trélissac; en
2000, Brest; en janvier2005, La Montagne; en janvier2007, La Vitréenne.
Fabrice Péru, Gwénaël Havart, Rudy Christophe sont les trois
rescapés du précédent 32e joué en janvier2007, devant La Vitréenne. La
GSI s'était imposée 1 à 0. Cette saison-là, son parcours en coupe de
France s'était achevé en 16e de finale face à Montceau-les-Mines. TONY DA COSTA, LE GÉSISTE, ET ORLANDO DA COSTA, LE PLOUVORNÉEN, malgré
un nom identique, n'ont absolument aucun lien de parenté. Cela met fin
à la rumeur qui circulait samedi soir au Faubourg de Verdun, selon
laquelle ils étaient cousins, voire, pour certains, des frères. Jonathan Toulliou et Mickaël Tisonont
également connu un 32e de finale récemment, en janvier2005. À l'époque,
ils portaient le maillot de l'US Montagnarde. Ils avaient éliminé la
GSI Pontivy 2 à 0.
publié le 14 déc. 2009, 01:06 par Avant-Garde Plouvorn
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mis à jour le·14 déc. 2009, 01:10 par Thibault Troadec
]
GSI Pontivy (CFA) - AG Plouvorn (DSE) (6-1) Plouvorn va devoir digérer très vite. 79e
minute: alors que Plouvorn vient de réduire le score, Christophe Salaun
a l'occasion d'égaliser sur cette frappe qui sera finalement bien
détournée par le gardien pontivyen, Kodjovi Obilalé. Les Finistériens
viennent de laisser passer leur chance. Photo Jean-René
Forcément déçu d'avoir été sorti sévèrement (6-1) aux portes des
32esde finale de la Coupe de France, Plouvorn va devoir rebondir
rapidement en championnat en s'appuyant sur les qualités démontrées
samedi soir à Pontivy.
Il
n'y aura donc pas de Plouvorn - Marseille, ni de Plouvorn - Lyon ou de
Plouvorn - Bordeaux, le week-end des 9 et 10janvier en 32e de finale de
la Coupe de France. Pour la troisième fois de leur histoire, les
joueurs de l'Avant Garde ont échoué à une marche de l'entrée en lice
des clubs de Ligue 1. Forcément décevant quand on est amateur. Et
forcément frustrant quand on a le sentiment que le dernier obstacle
n'était pas insurmontable, malgré les trois divisions d'écart qui
séparaient les Pontivyens des Plouvornéens.
Les têtes de Bellec
Ah,
avec des si... Ah, si Salaun avait égalisé à dix minutes de la fin...
Le scénario aurait alors pris une autre tournure. Et qui sait si les
jaunes, pour une fois en vert, ne seraient pas sortis du Faubourg de
Verdun en héros... Ah, si Bellec avait réduit le score à l'entame de la
seconde période... Sur deux têtes, dont une alors qu'il était seul à
10m du but, l'avant-centre plouvornéen a eu les occasions pour faire
douter Pontivy bien plus tôt dans le match. Ces opportunités manquées,
il a fallu redoubler d'efforts pour tenter de reprendre espoir. Une
débauche d'énergie fatale en fin de match. «On a eu un coup de
fatigue», admettait le capitaine, Régis Cueff, pendant que son
président, Daniel Bozec, ajoutait: «On s'est un peu écroulé
physiquement.»
Début de match fatal
Et puis,
avec des si, Plouvorn aurait réécrit ce début de match catastrophe,
finalement à l'origine de ses déboires. Car quand on encaisse deux buts
dans la première demi-heure face à un adversaire plus fort sur le
papier, difficile ensuite de croire au miracle. Le grand mérite de
Plouvorn aura été de ne pas perdre le fil de son match. Après avoir
déjà démontré, durant un bon quart d'heure en première période, qu'ils
étaient capables de très bien jouer au ballon, les hommes de Laurent
Kerleroux ont pris le jeu à leur compte au cours du deuxième acte. «Ils
nous ont sûrement laissé jouer un peu», nuançait Régis Cueff. Oui,
peut-être. Mais tout de même...
Et dimanche, c'est Plab'...
Au
final, le 6-1 a fait très mal dans les têtes plouvornéennes. Même si
les trois derniers buts ne veulent pas dire grand-chose. Et pourtant,
il va vite falloir oublier. «Il ne faut pas qu'on gamberge», insistait
l'entraîneur de l'AGP. «Ce soir (samedi), les joueurs ne sont pas
réceptifs. Mais dès lundi (aujourd'hui), ils vont devoir se
remobiliser.» Pour ne pas plomber leur très bon début de saison. Et ne
pas hypothéquer la remontée en DH qui est dans le viseur du club
léonard. Car dès dimanche, c'est la réserve de Plabennec, en tête du
groupe A de DSE avec un point d'avance sur Plouvorn (et un match de
plus), qui foulera la pelouse du stade Guy-de Reals. La déception née
du match de samedi sera forcément dans les esprits. Et peut-être un peu
plus encore après le tirage au sort de ce midi. «Si c'est Pontivy - OM
en 32e, conclut Christophe Salaun, c'est sûr qu'on aura un peu les
boules.»
publié le 13 déc. 2009, 00:56 par Avant-Garde Plouvorn
[
mis à jour le·13 déc. 2009, 01:01 par Thibault Troadec
]
La GSI a fait respecter la hiérarchie des trois divisions
d'écart, hier soir. Toutefois, sans une parade décisive d'Obilalé à la
77e, alors que Plouvorn était revenu à 2 buts à 1, que se serait-il
passé?
Même
si l'AG Plouvorn pouvait regretter de ne pas avoir été récompensée pour
son jeu fluide (notamment après l'ouverture du score de la GSI signée
Toulliou à la 10e minute), force est de constater que Pontivy
avait fait le boulot, inscrivant le deuxième but à la 28e, au moment où
Plouvorn semblait revenir dans le match. Un véritable coup de poignard
pour les hommes de Laurent Kerleroux. En effet, dès le début de ce 8e
tour, la GSI ne tardait pas à trouver l'ouverture. Signalons que le
premier but aurait pu intervenir plus tôt, lorsque le corner de Péru
était repris de la tête par Le Guerroué, Derrien, le portier visiteur
battu, était sauvé par son défenseur Labat qui dégageait sur sa ligne.
Toulliou à l'ouverture
Première
frayeur pour Plouvorn, la seconde était fatale. Tout d'abord Guyader
servait Péru, centre appuyé du capitaine pontivyen que Bray effleurait,
trompant son garde du corps Cueff; Toulliou, esseulé au second poteau,
ajustait tranquillement Derrien. Plouvorn pourtant ne s'avouait pas
vaincu et, sous l'impulsion de Guillemoto, de Bellec, la troupe
visiteuse venait taquiner Obilalé, le gardien pontivyen sur des corners
ou sur des coups francs. La GSI, nous l'avons dit ci-dessus, avait
tendance à laisser l'initiative à Plouvorn qui prenait confiance...
puis arrivait le coup de bambou de la 28e. Da Costa, le Pontivyen,
voyait Péru démarqué faire un appel de balle; aussitôt servi, le
Pontivyen; tout en finesse; éliminait Derrien et glissait le ballon
dans la cage finistérienne. 2 à 0, c'était la marque au repos. Au
retour des vestiaires, Plouvorn trouvait qu'il restait quarante-cinq
minutes et que rien n'était joué. D'ailleurs un centre de Guillemoto
trouvait la tête de Bellec à la 47e, le ballon passait au ras du
montant. Puis, pratiquement dans la minute suivante, Bellec, de nouveau
de la tête, mettait de peu au-dessus deux avertissements ans frais pour
la GSI. Plouvorn poussait, obtenant même un coup franc très bien placé,
Obilalé ayant mis sept secondes au lieu de six autorisées pour dégager,
mais ce coup de pied arrêté ne donnait rien.
Salaün redonne l'espoir
Il
n'empêche que Salaün, juste après sa rentrée, de la tête sur un coup
franc battait Obilalé, le coup franc ayant été doté par Roguez.
Moralité: Plouvorn y croyait de nouveau à fond et Salaün obligeait
Obilalé à réussir un superbe arrêt, véritablement le tournant du match
car une minute d'écart, Traoré qui lui aussi venait d'être incorporé
par son coach Le Dour, servi par Péru, était fauché en pleine surface
de réparation. Penalty indiscutable que Bray transformait à la 81e
minute, 3 à 1 pour la GSI Pontivy. Plouvorn chancelait, la GSI
regonflée, inscrivait trois autres buts par Péru à la 84e, Bray à la
85e et Havart, pendant le temps additionnel: 6à1 pour la GSI Pontivy
qui poursuit l'aventure et qui va attendre le tirage des 32e de finale,
demain.
publié le 13 déc. 2009, 00:46 par Avant-Garde Plouvorn
[
mis à jour le·13 déc. 2009, 00:52 par Thibault Troadec
]
La GSI Pontivy disputera les 32esde finale de la Coupe de France
après sa victoire, hier soir, face à Plouvorn. Non sans quelques
frayeurs, malgré un score fleuve (6-1) au final.
C'est
fou ce qu'un score peut parfois être trompeur. En s'en tenant à la
simple lecture du tableau d'affichage, on pourrait croire que la GSI
Pontivy s'est trimbalée, hier soir au Faubourg de Verdun, face à
Plouvorn. Que l'ogre de CFA n'a fait qu'une bouchée du petit poucet de
DSE. Comme la logique pouvait d'ailleurs le laisser penser à l'entame
de ce huitième tour de la Coupe de France.
Plouvorn a fait jeu égal
Autant le dire tout de suite: le 6-1 est très, très lourd pour une
équipe de Plouvorn qui, par moments, a dominé la rencontre en
s'appuyant sur des actions à une touche de balle et une belle
circulation du ballon. «Les gens qui n'étaient pas au match vont
seulement retenir qu'on a pris une volée. Pourtant, les trois divisions
d'écart ne se sont pas vraiment vues durant les 90 minutes. Au niveau
du jeu, on peut être fier de ce qu'on a fait», appréciait Laurent
Kerleroux, l'entraîneur de l'Avant Garde. «Durant une bonne partie de
la deuxième mi-temps, on a eu du mal, c'est évident», reconnaissait son
homologue pontivyen, Alain Le Dour.
«Si on avait égalisé... »
Sauf que, à ce moment-là, la GSI avait fait le plus dur en marquant à
deux reprises durant la première demi-heure. Un scénario idéal qui, à
la pause, laissait peu de doutes sur l'identité du vainqueur. Et
pourtant, après deux occasions en or gâchées par Bellec à l'entame du
deuxième acte, Plouvorn y a cru après la réduction du score de Salaun à
un quart d'heure de la fin, au plus fort de sa domination. «A 2-1, bien
sûr qu'on n'était plus à l'abri», soufflait l'entraîneur pontivyen. «Si
on avait égalisé à 2-2, je suis sûr qu'on serait passé», lâcha même
Laurent Kerleroux, un brin dépité. Car ses joueurs ont eu l'occasion de
revenir totalement dans le match. Mais Obilalé a alors sorti le grand
jeu sur une frappe de Salaun à la 79eminute. Dans la foulée, Pontivy
prenait définitivement le large. «On ne conteste pas la défaite, mais
les trois derniers buts sont anecdotiques», relevait l'entraîneur
plouvornéen, pendant qu'Alain Le Dour appréciait le coup d'accélérateur
de ses joueurs pour trouver des décalages et ainsi s'éviter toute
mauvaise surprise.
«Bordeaux, Lyon ou Marseille»
Sans avoir été brillants, mais en s'étant montrés très efficaces, voilà
donc les Pontivyens une nouvelle fois en 32esde finale de la Coupe de
France. Ce qui suffit largement au bonheur de leur entraîneur, qui ne
formule qu'un voeu: recevoir pour la troisième fois d'affilée. «Une
équipe jouable, ou alors un très gros», précise-t-il. De quel genre?
«Bordeaux, Lyon ou Marseille.» Allez, réponse demain à Rennes.
publié le 10 déc. 2009, 00:27 par Avant-Garde Plouvorn
[
mis à jour le·10 déc. 2009, 00:31 par Thibault Troadec
]
Mickaël Le Guével a très envie de se qualifier pour les 32es de
finale de la Coupe de France afin de connaître l'ivresse que procure ce
niveau de compétition. Mais avant, il faut éliminer Plouvorn, samedi à
domicile.
Mickaël
Le Guével, la GSI a déjà réussi de très beaux parcours en coupe de
France, le saviez-vous? «Evidemment, lorsque l'on arrive dans un
nouveau club on apprend pas mal de choses. Aussi, je sais que la GSI a
disputé, depuis 16 ans, six 32e de finale, deux 16e de finale, sans
oublier un 8e de finale. Mais cela fait partie de l'histoire. Le
présent, c'est ce 8e tour à l'horizon, synonyme de billet pour un
septième 32e.» Ce passé prestigieux peut-il avoir son importance lors de la réception de Plouvorn? «Très
franchement, je ne le crois pas. Ce n'est pas parce que vous êtes un
habitué des beaux parcours en Coupe de France que vous êtes absolument
sûrs d'obtenir à chaque fois un résultat positif, d'autant que
l'effectif de la GSI n'a plus grand-chose à voir aujourd'hui. Vous
savez, moi je me prépare pour trla qualification.» Cette saison, en Coupe de France, vous avez eu un tirage ultra-bénéfique. Les 32es vous tendent les bras... «Je
ne suis pas tout à fait d'accord. La preuve, lors de notre entrée en
lice pour le 4e tour, on s'est déplacé à Locminé, club de Division
d'Honneur. Admettez que ce n'est pas le tirage idéal, d'autant que la
Saint-Co voulait battre la GSI, d'où la nécessité de bien négocier ce
4e tour. L'objectif a été atteint.» Mais, après, vous tirez deux DSR et une DH d'Outre-Mer à domicile.. «Encore
une fois, les ?traquenards? par excellence. Regardez le 5e tour, on est
passé à l'arraché à Chartres-de-Bretagne, 2-1 après prolongation. Puis
vient le derby contre le Stade Pontivyen. Là non plus, cela n'a pas été
facile. En revanche, le match le plus accompli c'est celui devant
Cayenne avec une maîtrise totale de la GSI tout au long de la
rencontre.» Une élimination face à Plouvorn (DSE, trois divisions d'écart en faveur de la GSI) serait une énorme déception? «Je
le confirme. On doit aborder ce 8e tour avec du sérieux et du respect
pour l'adversaire, cela sous-entend qu'il ne faudra pas laisser
Plouvorn prendre confiance car, au fil du match, un score vierge
l'avantagerait. Regardez, à Chartres-de-Bretagne, on prend un but
d'entrée, après on galère pour revenir et gagner. Au contraire, à nous
de réussir une prestation du type de celle réalisée devant Cayenne.
Dans ce cas de figure, la GSI passera.» La Coupe de France, ça vous transcende? «Vous
savez, je n'ai jamais eu la chance de vivre une belle aventure dans
cette compétition magique. Alors, croyez-moi, j'ai envie de connaître
ce bonheur au moins une fois. Cette saison me paraît la bonne.»
ProposCoupe de France (8e tour). GSI Pontivy (CFA) - Plouvorn (DSE), samedi Le Guével veut savourer. Mickaël
Le Guével: «On doit aborder ce 8e tour avec du sérieux et du respect
pour l'adversaire, cela sous-entend qu'il ne faudra pas laisser
Plouvorn prendre confiance». Photo Jean-René recueillis par H.C.