DSR. Plouvorn B - Bégard, dimanche (15 h 30). Un match pour être leader, peut-être...

Date de publication : Oct 21, 2011 10:44:17 AM

La réserve de Plouvorn peut prendre place dans le fauteuil de leader. Debout, de gauche à droite : Sébastien Quéré, Geoffrey Coquil, Valentin Le Page, Jonathan Nénez, Thierry Kérriou, Antoine Thoss, Julien Le Gouareguer, Simon Mingam. Accroupis: Thomas Scornet, Alex Le Traon, Nicolas Séach, Jean-François Roguez, Damien Morizur, Nicolas Cadiou, Alex Le Joncour et Guy Troadec (entraîneur). Photo Michel Pleiber

Postée à deux longueurs de Bégard, la réserve plouvornéenne a une belle occasion de prendre la place du leader.

«Avant de recevoir Bégard, nous avons déjà deux tiers du maintien, avec deux ou trois victoires d'avance. Nous avons deux matches très intéressants à jouer dans les prochaines semaines, car là, nous recevons le leader, et ensuite nous allons à Landivisiau, le match que tout le monde attend», explique Guy Troadec, le coach de Plouvorn. Il ajoute : «Je ne connais pas trop cette équipe de Bégard, qui vient de descendre: je crois qu'elle a beaucoup changé, mais elle est leader, avec trois victoires et un match nul, et donc invaincue comme nous. Comme c'était le cas lors de la réception de Paimpol qui était leader en venant chez nous, nous avons peut-être la possibilité d'être premiers si nous battons cette équipe bégarroise. Je pense que c'est un club qui a de quoi faire une seule équipe, car je vois que leur équipe B souffre en PH, et que pour la A, il ne faut pas qu'il y ait trop de casse, comme dimanche dernier où ils avaient quelques absents, ce qui leur a coûté la victoire contre Plouguerneau.»

Vingt grandes minutes

«Chez nous, nous serons, bien sûr, tributaires des mouvements du haut, mais, depuis le début de l'année, quels que soient les joueurs qui arrivent ou qui partent de ce groupe (dimanche dernier à Guilers, il y avait bien trois ou quatre qui débarquaient, comme Jeff Roguez, Jean-Charles Guilmoto, Damien Morizur), ces joueurs vivent bien cela, et surtout, ils font les efforts, ce qui fait que le groupe tout entier fonctionne bien. Actuellement, nous faisons des bons matches, comme dimanche dernier par exemple, où le coach de Guilers se demandait ce qui allait lui tomber sur la tête au bout des vingt premières minutes de beau jeu: on peut marquer trois ou quatre fois dans ces vingt minutes, et on peut tuer le match.»

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